Acte 1: La rencontre

Chapitre1: Au commencement.

Manoir D'EL ESCORIAL, province de Madrid, 3éme heure après minuit...

Le cocher arrêta le cheval à environ 15 mètres de l'entrée. Il n'était pas habitué à livrer du courrier en pleine nuit sauf pour la famille El Escorial. Il venait ici environ une fois par mois mais n'avait jamais vu une autre personne que le major d'homme. Comme à son habitude, celui-ci se tenait devant l’entrée, comme s’il savait qu’un courrier arrivait cette nuit. Le cocher regarda le manoir, il était immense avec des armoiries. La famille qui vivait ici devait être riche. Enfin c’est ce que lui avait dit son frère, qui faisait un peu de politique. Il lui rappelait à chaque fois que la famille El Escorial était très influente dans la région.

Le cocher se décida à descendre de son cheval et donna la lettre au major d’homme qui le regarda d’un air glacial. Il était presque chauve, les yeux gris et injectés de sang. Il prit la lettre et s’en retourna vers le manoir.

A Zestoy, Europe de l’est, quelques heures auparavant :

Le Baron rentra de sa chasse nocturne apres s’etre copieusement repus du sang de ses victimes. Arrivé aux château, il se lava les main, s’essuya puis se remis conforatblement dans sonfauteuil de cuir pour ouvrir la lettre qu’il avait reçu de son Sir. Cela restait toujours un evènement. La lettre portait le sceau rouge ecarlate de son maitre.
Kladislav décacheta lentemant la lettre et se mit à lire calmement :

 

« Mon infant,

Il est de ma volonté que tu viennes sur la place du marché du Var Hegi à Buda à proximité du pilori, à la dixième heure du 15 ème jour d’avril de l’an de grâce 1198.

Là tu rencontreras un mien allié qui souhaite devenir ton employeur ; ton avenir serait bien assuré si tu acceptais son offre.

En outre, j’aurais grand plaisir à ce que tu t’engages auprès de lui car je l’ai déjà fait en ton nom.

En attendant que tu lui signifies de vive voix ton accord, ne me déçoit pas. »

Après relecture la lettre, Kladislav se retourna vers son serviteur et lui parla d’un ton sec. Le viel homme paru sortir d’un sommeil millénaire mais retrouva rapidement ses esprits pour ecouter son maitre attentivement :

« Je vais partir faire un long voyage. Prepare toutes mes affaires et gere le domaine en mon absence. Si tu traville bien, tu sera récompensé. »

 

Quelque part dans un refuge prêt de Buda Pest … au meme instant :

Le jeune homme sortit par la porte de derriere et s’enfonça dans la ruelle comme le lui avait demandée la jeune femme dans le bar.
Elle lui était apparu alors qu’il venait de perdre sa enieme partie carte. Elle n’avait pas arreté de la fixée depuis plusieurs heures. Il avait tenté plusieurs fois de voir son visage mais sans aucune réussite. Sa cape et sa capuche dissimulant parfaitement les traits de son visage. Si ses formes n’avaient pas été aussi feminines et sa silouhaite avenante, il ne l’aurait jamais approchée. Décident de ne plus perdre au jeu, il se leva et rejoint la table de la jeune femme. Victor la regarda fixement et fut totalement subjugué par son charme. Non pas que son visage soit parfais, mais sa beauté était totalement irrationnelle, indefinissable et pourtant magnifique.

En avançant dans la ruelle, il rejoint rapidement la jeune femme. Il s’avança rapidement, pressé de lui monter sa virilité…
 
Drina regarda le jeune fixement. Elle s’appocha de lui et se laissa caressée un instant mais dès que la jeune femme approcha ses levres du cou de Victor. Celui-ci senti un leger picotement au niveau de la gorge. Il se raidi avec une certaine douleur puis senti ses force l’abandonner. En quelques secondes, il perdit completement la notion de temps et de realité. Puis, pour la dernier fois, il cligna ses paupieres avant de regarder son bourreau. Son souffle diminua et peu à peu la vie le quitta…

Drina laissa tomber sa victime sur le sol. Elle remit sa capuche et rejoigna son ami qui l’attendait au bout de la ruelle. Celui-ci sourit et lui parla calmement :

« Notre Sir t’attend. Il a une mission pour toi. Tu dois te rendre sur la place du marché du Var Hegi à Buda à proximité du pilori, à la dixième heure du 15 ème jour d’avril de l’an de grâce 1198. »

Chapitre 2: Prophetie.

Le voyage fut long. La caravane faisait une halte toutes les deux heures. Lucas passa la mageure partie du voyage à faire ses comptes. Plusieurs mois passèrent et enfin les portes de Buda se décinèrent.

Un homme d'allure paysanne, sans doute un valet se dirigea vers la calèche principale dans laquelle était Lucas. "Monseigneur, je vous demande de patienter un instant jusqu'a l'arrivé de nos derniers invités."

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